Une question ?

Galerie OIA Arts contemporains d'Asie du Sud-Est

La galerie OIA est spécialisé dans les arts contemporains d'Asie du Sud-Est. Cette année il rejoint Parcours des Mondes en intégrant notre showcase.

Biographie

Ancien fonctionnaire des Affaires Étrangères, j’ai eu l’opportunité de vivre plusieurs années en Australie et de voyager fréquemment, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles, à travers l’Asie, l’Europe et l’Océan Indien. Ces expériences m’ont profondément enrichi, tant sur le plan spirituel qu’humain, en me permettant de découvrir des cultures et des territoires d’une richesse fascinante.

 

Cependant, j’ai rapidement constaté qu’en matière artistique, certaines de ces régions jouissent d’une visibilité notable, notamment en France, tandis que d’autres demeurent presque totalement absentes des scènes internationales. Ce constat a pris une dimension particulière lors de mon premier séjour au Cambodge, pays d’origine de ma belle-famille.

 

Marqué par une histoire tragique, le Cambodge a vu, au cours de sa guerre civile, l’anéantissement de la quasi-totalité de ses artistes et enseignants en art. La reconstruction artistique du pays, portée par une nouvelle génération, reste fragile et peu représentée au-delà des frontières nationales, principalement limitée à l’Asie. Ce contexte m’a profondément touché et motivé à agir. J’ai ressenti le besoin impérieux de défendre ce pays qui m’est si cher, d’en promouvoir les artistes et les arts, et de contribuer à sa renaissance culturelle en lui rendant une part de ce qu’il m’a déjà offert.

 

Après une formation auprès de Stéphane Jacob-Langevin, spécialiste de l’art aborigène, j’ai concrétisé cette aspiration en fondant la Galerie Oia en 2023. Ce projet reflète mes valeurs et mes engagements : une galerie ouverte sur le Cambodge, mais aussi sur l’ensemble de l’Orient et de l’hémisphère oriental. Elle s’intéresse autant aux mythologies anciennes qu’aux créations artistiques contemporaines, tout en se distinguant par son essence singulière et nomade.

 

Depuis sa création, la Galerie Oia a su élargir ses horizons. Aux œuvres d’artistes cambodgiens se sont ajoutées celles d’artistes thaïlandais, vietnamiens, japonais et malaisiens. Plus récemment, une artiste taïwanaise a rejoint notre collection, témoignant de notre ambition constante : faire découvrir et célébrer des talents méconnus, tout en bâtissant des ponts entre les cultures et les époques.

Découvrez ses œuvres

EPHÉMÈRE (Epiphyllum Oxypetalum) 2O23

Su Mei-Yu

120 x 47 cm

Encre d’acrylique et encre de Chine sur papier marouflé sur rouleau de tissus

Sceau à l’encre rouge, gravé en creux

© Galerie OIA

Contact

https://www.galerie-oia.fr/contact/

Retrouvez la Galerie OIA pendant le salon 

Galerie du Crous de Paris - Showcase Parcours des Mondes 2025

11, rue des Beaux-Arts

Cliquez ici pour retrouver tous les exposants au Parcours des mondes.

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Eléonore Théry

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The Art Newspaper Daily

Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours de... voir plus Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre » Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années. Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali). Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand. voir moins

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Susan Moore - Apollo

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