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Parcours des mondes dévoile son Président d'Honneur Marc Ladreit de Lacharrière

 

Nous sommes honorés de vous dévoiler le nouveau Président d'Honneur de Parcours des mondes, édition 2025.

Qui est Marc Ladreit de Lacharrière ?

Nous sommes honorés de vous dévoiler le nouveau Président d'Honneur de Parcours des mondes, édition 2025.

Marc Ladreit de Lacharrière, Président d'honneur de la 24ème édition de Parcours des mondes.

C’est un privilège de compter à nouveau sur l’engagement de Marc Ladreit de Lacharrière comme président d’honneur de l’édition 2025 du Parcours des Mondes, qui se tiendra du 9 au 14 septembre. Sa présence et son implication en 2024 ont marqué notre précédente édition et ont contribué au rayonnement des arts d’Afrique, d’Océanie et des Amériques.

Depuis plus de trois décennies, Marc Ladreit de Lacharrière s’engage dans le domaine culturel, il est à l’origine de la Fondation Culture & Diversité et membre fondateur de la Fondation du patrimoine. À la demande du Président Jacques Chirac, il a été la cheville ouvrière du musée du Louvre à Abu Dhabi pendant dix ans, depuis sa conception jusqu’à son inauguration en 2017.

Élu en 2005 à l’Académie des beaux-arts (Institut de France) et nommé Ambassadeur de bonne volonté pour la diversité culturelle à l’Unesco, il a récemment renouvelé son engagement auprès du musée du quai Branly – Jacques Chirac, rendant possible la réalisation de deux expositions annuelles. En 2025, il a également financé le réaménagement du « Pavillon des Sessions » où le Louvre expose des chefs-d’œuvre prêtés par le musée du quai Branly – Jacques Chirac. A ce titre, il est le premier partenaire du Louvre dans le cadre de la « renaissance du Louvre » annoncée par le Président de la République.

À l’aube de cette nouvelle édition, nous mesurons l’honneur qui est le nôtre de l’avoir à nouveau à nos côtés.

Photo : Katharine Cooper

Revue de presse

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Eléonore Théry

Le plus grand salon international des arts... voir plus Le plus grand salon international des arts premiers, asiatiques et d'archéologie se tient à ciel ouvert à partir d'aujourd'hui dans le quartier des Beaux-Arts et de Saint-Germain-des-Prés, à Paris. Jusqu'au 15 septembre, 64 marchands internationaux sont réunis pour cette 18e édition, qui témoigne d'une place croissant accordée à l'archéologie, avec la présence de huit galeries dont Arteas Ltd (Londres), Cahn Contemporary (Bâle) et la Galerie Eberwien (Paris). La collectionneuse grecque Kyveli Alexiou est présidente d'honneur de cette édition. Parmi les exposants, on retrouve les galeries Bacquart (Paris), Joe Loux (San Francisco) et Martin Doustar (Bruxelles), Bernard Dulon (Paris) pour les arts premiers, Max Rutherston Ltd. (Londres) pour les arts asiatiques ou encore J. Bagot Arqueología S.L. (Barcelone) pour la section archéologie. voir moins

The Art Newspaper Daily

Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours de... voir plus Depuis dix-huit ans, grâce au Parcours des mondes, Saint-Germain-des-Prés devient, l’espace d’une semaine, le rendez-vous privilégié des amateurs et collectionneurs d’arts primitifs. Mais pas seulement, car depuis quatre ans, l’événement s’est ouvert à d’autres disciplines. En 2015, il accueillait les arts d’Asie ; cette année, c’est au tour de l’archéologie d’être intégrée, avec des œuvres grecques, romaines ou orientales. « L’adjonction de cette spécialité était une évidence, car c’est de cette époque que tout est parti », explique Pierre Moos, « Lorsqu’on s’appelle Parcours des mondes, on se doit de proposer un véritable tour du monde de l’art non pas en quatre-vingts jours mais en quatre-vingts minutes. D’autant que, contrairement à ce que l’on pense, le collectionneur n’est pas toujours monomaniaque et fait la traversée esthétique d’un continent à l’autre ou d’un pays à l’autre » Soixante-quatre exposants (dont une moitié venant de l’étranger) participent à cette 18e édition. Et parce que le Parcours des mondes rassemble la plus grande concentration au monde d’amateurs et de collectionneurs d’arts extra-européens, les exposants leur réservent leurs plus belles découvertes de l’année et rivalisent dans des expositions thématiques – une vingtaine – prévues parfois depuis plusieurs années. Parmi les expositions notables, on relève celle de Bernard Dulon (Paris) qui organise un face-à-face entre les œuvres du sculpteur belge Jan Calmeyn et les objets africains de sa collection, dont une figurine en zigzag Lega (Congo) et une statuette assise Dogon (Mali). Abla & Alain Lecomte (Paris) centrent leur présentation sur le thème du masque de l’Afrique de l’Ouest avec un étonnant masque cimier Ijebu, Yoruba. « Une vingtaine d’entre eux proviennent d’une collection privée encore jamais montrée », souligne Alain Lecomte (affichés entre 3 500 € et 35 000 €). Julien Flak (Paris) a réuni une vingtaine d’objets sous le titre explicite de « Poésie féroce, arts anciens de Nouvelle- Irlande », parmi lesquels un masque Malagan Matua ou Vanis (au-delà de 70 000 €). « Organiser une exposition consacrée aux arts anciens de cette île mystérieuse des mers du Sud est un rêve que je poursuis depuis plus de dix ans », souligne le marchand. voir moins

Marie Potard - Le Journal des Arts

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Susan Moore - Apollo

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